“Ah zut je n’y vois rien! J’ai oublié mes lunettes à la maison.” Combien de fois je me suis entendu dire ça depuis les 20 dernières années alors que je laissais mes lunettes sur ma table de chevet, ou le comptoir de la salle de bain, ou l’étagère de la cuisine… ou la table de salon! Si vous portez des lunettes vous savez TELLEMENT de quoi je parle. On ne peut pas s’en passer et pourtant on passe notre temps à les laisser partout.
Mes lunettes de super héros
Mes lunettes, pour moi sont comme une armure de style. Elles font partie de qui je suis, elles sont en partie responsables de présenter au monde entier la personne que je me sens. Mes lunettes sont toujours assumées, elles prennent de la place sur mon visage, elles sont uniques et n’ont pas froid aux yeux. Je pense que ce sont des adjectifs qui me décrivent pas mal non plus. Et pour les fois où je me sens timide, où je ne feel pas trop ou simplement pour les fois où j’ai envie de me cacher en petite boule pour que personne ne me voit, et bien mes lunettes me servent de “cape d’invisibilité”. C’est comme si de les porter me donnait un sentiment d’être protégée derrière leur armature et leur verre.
Bien que mes lunettes soient très importantes pour mon estime de moi {et pour y voir clair!}, je n’ai jamais vraiment pris le temps de considérer leur importance physique pour la santé de mes yeux. Ça c’est jusqu’à il y a un mois quand j’ai rencontré les gens de chez IRIS et qu’ils ont pris tout le temps nécessaire pour m’expliquer les tenants et aboutissants de la lumière bleue et ses effets sur la santé de mes yeux, le vieillissement – oui oui, même mes lunettes super héros ne peuvent me protéger de ce phénomène, les écrans d’ordinateur etc… J’ai appris une tonne de choses vraiment importantes qui ont grimpées très haut sur ma liste de mes priorités pour les années à venir.
Parce que des résolutions de nouvelle année, je ne les garde juste pas. J’ai beau les écrire au 26 décembre, pleine de bonne volonté, mais rendu au 15 février je les ai déjà mises de côté. Par contre {et c’est encore là tellement juste psychologique}, quand je me mets des priorités à mettre de l’avant et à respecter, et bien là, il n’y a rien qui puisse m’en faire déroger.
Mes priorités
Cette année je me suis dotée de 3 priorités que je vais tout faire pour respecter et faire grandir.
La première c’est celle de déconnecter plus souvent. Je travaille avec mon ordi, je gagne ma vie avec les médias sociaux. C’est formidable et je suis choyée de pouvoir le faire. Ceci étant dit, je ressens maintenant le besoin de vivre davantage dans le monde physique. D’être pas juste présente physiquement, mais d’être toute présente. Donc, je garde mon travail et mes activités, mais je me permets aussi de déconnecter de temps à autres et ça me fait le plus grand bien. Même mon mari et mes enfants ont remarqués et ils adorent leur maman 1.0.
Ensuite je me suis dit que je voulais apprendre. J’ai ce besoin de sentir mon cerveau actif et engagé. J’ai besoin de faire faire de l’exercice à mes méninges qui devenaient un peu paresseuses. Donc, en janvier dernier, j’ai envoyé une demande d’admission à l’université Concordia à leur programme d’histoire de l’art et je n’y ai plus pensé. Quand ma lettre d’admission est arrivée deux mois plus tard, j’ai failli tomber de ma chaise. J’avais été acceptée au bacc, à 40 ans, dans un programme dont j’ai rêvé toute ma vie! J’écris ces mots et je n’en reviens pas encore.
Ma troisième priorité, et selon moi la plus importante, c’est celle de prendre soin de moi. Pour de vrai. Entre mes 3 petits mousses, mon mari, ma maison, mon travail et tout le reste, je n’ai pas pris beaucoup de temps au cours des 10 dernières années pour vraiment prendre soin de moi. Je ne fais pas pitié, je vous en faites pas, mais disons que je me suis un peu négligée. Tout ce qui me prenait un peu de mon précieux temps avec ma famille ou qui me faisait déroger de mon travail a été mis de côté au nom de la maternité et de la productivité. Enough! J’ai donc débuté mon voyage vers le mieux-être avec un examen de la vue, une visite chez mon médecin pour un check up complet, des cours de yoga, et tout le reste a rapidement emboité le pas. Je sais que c’est un trajet à long terme plutôt qu’une destination rapide, mais c’est ce qui me motive à demeurer sur le cap.
Alors voilà ce qui occupe le palmarès de mes priorités cette année et pour celles à venir. Ce qui fait que lorsque j’ai choisi de collaborer avec IRIS comme l’une de leurs ambassadrices, je me suis tout de suite sentie prendre une bonne décision, pour moi et pour ceux que j’aime. J’ai joint les rangs d’une entreprise dont les valeurs me ressemblent avec des gens qui sont à l’écoute et des produits de qualité. Je vous en reparlerai prochainement, mais en attendant… je déconnecte.
Ce billet est commandité. J’agis à titre d’ambassadrice de la marque, mais les propos et opinions illustrés sont tous les miens et reflètent ma pensée.
sources photos:IRIS
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